A sa rentrée triomphale à Paris, l’armée est acclamée par la population.
L’accueil de Paris est tout aussi enthousiaste :la ville entière (bourgeois, clergé, et peuple) va au devant de Philippe-Auguste.
Les étudiants de l’université surtout font fête aux troupes victorieuses.
Les banquets et réjouissances durent sept jours.Au sommet du vitrail qui orne le milieu du chœur, une sorte d’apothéose représente le roi serrant la main d’un soldat des communes à l’ombre du pennon royal tenu par un chevalier.